On ne peut servir Dieu et le DiableIl est une remarque qui hante le langage populaire : "Celui qui fait le bien peut aussi faire le mal", avec une variante : "Celui qui fait le bien fait aussi le mal."
Cette remarque, qui, parfois, est une affirmation, émise depuis longtemps, que chacun de nous peut entendre dans tous les secteurs de notre société, est un non-sens qui, semé dans les esprits, germe et croît, apportant un malaise qui trouble les gens.
Comment peut-on marier ainsi le bien et le mal ? Comment imaginer, une seule seconde, que celui qui fait le bien peut également agir pour le mal ? C'est une évidence : celui qui fait le bien ne doit pas aussi faire le mal.
Je crois en la morale universelle, gérée par l'intelligence supérieure suprême, que d'aucuns nomment Dieu et qui, selon mon raisonnement et plus particulièrement mon intuition, représente la Puissance-Tout, c'est-à-dire celle qui est composée d'éléments essentiels qui valsent dans l'Univers : air, terre, eau, végétaux, minéraux et plus loin - ou plus proches de nous par leur influence sur nous ? -, les étoiles, le soleil, la lune, les autres planètes, les autres galaxies.
Tout est dans TOUT et depuis le Tout-Commencement. La vie appelle la vie. La vie est donc une recherche d'équilibre du beau et du bien.
Il apparaît donc logique que Tout ce qui va vers la vie soit une action de bonté, de générosité, d'amour. Ainsi, un acte positif engendre un rayonnement positif. Et par la force créatrice de cet acte généreux, tout vivre chaleureusement, ce qui engendre une dynamique d'actions qui vont dans le même sens afin d'intensifier un rayonnement de plus en plus présent, puissant, générateur d'énergies multiples au bénéfice de la santé des habitants de la Terre et, mieux encore, qui assure l'équilibre et la santé de
TOUT ce qui vit et vibre dans l'Univers et jusqu'à l'Infini.
Nos paroles, nos pensées, notre comportement, nos actes en notre qualité de voyageurs de l'espace, représentent l'un des éléments majeurs quant à la ronde cosmique dans laquelle nous sommes emportés et dont nous sommes des forces vives, maillons pour la continuité de la vie.
Il est donc contraire à la vie de pratiquer des actes négatifs, portant atteinte à la santé d'autrui, actes qui perturbent alors tout le système cosmique dans lequel nous gravitons.
Selon mon raisonnement, celui qui pense le mal, qui agit pour le mal, par des pratiques négatives, se détruit lui-même; il marche sur des chemins où l'ombre, les ombres sont plus nombreuses que la lumière.
Il tente d'étouffer la chaleur humaine que tout être humain porte en lui, il est aiguillonné par son égoïsme, sa méchanceté : son ego alors triomphant - pour combien de temps ? - annihile les élans du coeur, gomme tout amour pour ses semblables. Et pourtant, l'autre, c'est soi-même, ne l'oublions pas.
La mauvaise vue, la parole assassine, l'acte négatif envers les autres, est aussi dirigé contre soi. Après avoir voyagé dans l'espace, la mauvaise pensée, la parole assassine, l'acte négatif, en effet de boomerang, sont alors là pour alerter durement l'auteur.
J'ajoute qu'il est important de savoir que celle ou celui qui se targue "de nouer l'aiguillette des jeunes époux, de rendre les femmes stériles, de faire marrir (perdre, égarer) les gens par nuit étoilée et même si elles sont à deux pas de leur maison, par ciel clair et clair de lune, qui use de poupées, de photos, de statuettes, pour les épingler, les clouter et causer des douleurs, des souffrances, qui coupe les photos, les fait périr dans les flammes, qui mange l'énergie des gens par une présence négative, qui offre des cadeaux porteurs d'ondes empoisonnées, qui s'inspire de manuels, de livres concernant des pratiques contraires à la vie, pour porter tort, pour nuire à autrui", celle-là ou celui-là s'expose à des effets de retours douloureux.
Au risque de se détruire soi-même, personne ne peut, personne ne doit, tour à tour ou simultanément, appeler la lumière et l'ombre; le miel ne s'allie pas au miel.
Si la conscience, propre à chacun de nous, est parfois en sommeil - pour des causes diverses et entre autres vie matérielle outrée, jouissance par et pour le mal -, un jour, c'est ma conviction, elle nous éclaire, et son réveil, dans une lumière éblouissante, nous oblige à avoir un autre regard sur nous-mêmes, à une réflexion approfondie, à une découverte qui peut être surprenante et douloureuse.
En effet, et toujours selon mon raisonnement, c'est face à sa conscience qu'il doit assumer ses erreurs, ses actes négatifs, destructeurs de vie. Car la conscience est l'un des rayons nés de la quintessence de l'âme qui nous éclaire, conscience qui, plus que tout juge vêtu d'une robe, est là pour juger ceux qui agissent contre la vie.
Ainsi, le comportement de chacun de nous, pour le bâti de l'existence, élève au bénéfice des communautés la conscience humanitaire à l'échelle planétaire.
De ce fait, quand on assure le bien en faveur des autres, tout rayonne autour de soi. En soi. Effets salutaires, quand on donne, on reçoit au centuple : énergies renouvelées, fortifiées, mieux-être, une ineffable sérénité qui conforme la santé physique et morale.
N'en doutons : par nos paroles, par nos actes, par nos pensées chaleureuses pour autrui, on peut édifier le paradis sur Terre et l'embellir !